15/04/2007
L'enfance prolongée...

Ben oui, c'est moi ! Je bassine tranquilleHeureux d'envisagerUne existence fertileOser vivre et rêver Quatre décennies se sont écouléesMon enfance ne s'est pas égaréeLes yeux toujours grands ouvertsJe découvre, curieux, l'univers J'ai gardé ce large sourireComme langage universelEcouter, aimer, et offrirDonner à la vie un goût de miel... Feuille d'automne
11:01 Écrit par Feuille d'automne dans poésie | Lien permanent | Commentaires (8) | Facebook |
Commentaires
heureux celui qui garde un coeur d'enfant, c'est ce qui permet d'avoir toujours un regard ouvert sur cet univers qui est le nôtre, en effet..
garde toujours ton si beau sourire et darde longtemps encore tes rayons si bienfaisants...
Écrit par : cil | 15/04/2007
Quel beau bébé, quel joli sourire...
C'est un privilège de garder l'enfance dans le regard et de s'émerveiller encore et toujours.
Écrit par : Malaïka | 16/04/2007
J'ai presque la même... à une décennie près...(en plus)
Écrit par : Muse | 19/04/2007
Ca me fait sourire... il n'y a pas si longtemps, chez moi, j'écrivais que "je ne serai jamais une grande fille" ;-)). Un beau parallèle non? A bientôt!
Écrit par : Syolann | 21/04/2007
Quand l’enfant s’est penché à son petit ruisseau,
Il se voit déjà grand et sent où va son fleuve.
C’est l’aube chatoyante où les cieux sont au beau
Arrivent l’embouchure et les premières épreuves,
Nuages vont, viennent, le temps est incertain.
L’enfant sonde le bonheur, il va graver ses preuves
La barque suit son cours, sans penser au lointain,
Comme si un trait ardent cela est, l’instant mire
Le coeur, mue sans changer, se recouvre d’étain...
Ô, Joie ! Sens du monde donne tout le sourire,
Malgré intempéries, que l’âme du coeur d’enfant
Puisse déployer ailes, se bercer à la lyre
Ô ! Poussières d’étoiles... de là va puiser sang,
D’encre réaliser, des fenêtres les ailes
Vont tracer le fleuve dans les cieux aimants
Tout en s’ouvrant à vie, comme un jeu de marelle,
Va pouvoir revenir au lieu où ruisseau
Offre l’antre à soi des saisons éternelles...
L’adulte s’avance, fardé de bien des maux,
Certaines des journées en mauvaises surprises
L’ont un peu effritées, il pose le fardeau
Mais même éclats voilés, il continue... se grise,
Donne avec passion, sans compter, sans détour,
Jusqu’à lie de l’espoir, que bond charnel attise...
Garder le coeur enfant, c’est « aimer » pour toujours...
Janvier 2002
Écrit par : Petite Louve | 22/04/2007
Il y a dans ce regard tout l'émerveillement et la joie du monde ! superbe !
Écrit par : balaline | 25/04/2007
Presque Jumelles nous sommes, 4 décennies du 30 Avril.
Encore une merveilleuse ballade sur les mots chez toi.
Des semaines très remplies et peu de temps mais à chaque fois un plaisir de faire ce détour.
Amicalement.
mary
Écrit par : Mary | 03/05/2007
Hello J'espère que tu vas bien. Je passe souvent en quête d'un nouveau post. Bonne nuit et amitiés.
Écrit par : Malaïka | 22/05/2007
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